Après avoir subi le ralentissement net du nombre de transactions fin 2008, ERA Immobilier enregistre de bons résultats sur le premier trimestre de l’année, confirmant le frémissement de reprise du marché ressenti par les agents immobiliers ERA.
Ainsi, le nombre de transactions grimpe de 33% et le CA réseau progresse de 29% en comparaison du dernier trimestre 2008.
La tête de réseau attribue cette embellie à la conjonction de différents facteurs : des conditions d’emprunt redevenues favorables, une relative stabilisation des prix qui rompt l’attentisme des acquéreurs, la réalisation des transactions ne pouvant être reportées.
En parallèle, les vendeurs ont également intégré la réalité du marché et pondéré leurs prétentions pour vendre leur bien dans un délai raisonnable, ce qui a assoupli la marge de négociation avec les acheteurs et permis la conlusion de projets immobiliers.
De plus, les premiers mois de l’année couvrent une période traditionnellement active : les ménages veulent être opérationnels en leur nouveau logement dès septembre ce qui implique une acquisition au premier trimestre de l’année.
Enfin, la pierre demeure la valeur refuge pour les investisseurs en perte de repères et à la recherche de sécurité, confrontés à la chute des valeurs boursières et au faible rendement de l’épargne.
De fait, la clientèle reprend le chemin des agences immobilières.
Ainsi, le nombre de transactions grimpe de 33% et le CA réseau progresse de 29% en comparaison du dernier trimestre 2008.
La tête de réseau attribue cette embellie à la conjonction de différents facteurs : des conditions d’emprunt redevenues favorables, une relative stabilisation des prix qui rompt l’attentisme des acquéreurs, la réalisation des transactions ne pouvant être reportées.
En parallèle, les vendeurs ont également intégré la réalité du marché et pondéré leurs prétentions pour vendre leur bien dans un délai raisonnable, ce qui a assoupli la marge de négociation avec les acheteurs et permis la conlusion de projets immobiliers.
De plus, les premiers mois de l’année couvrent une période traditionnellement active : les ménages veulent être opérationnels en leur nouveau logement dès septembre ce qui implique une acquisition au premier trimestre de l’année.
Enfin, la pierre demeure la valeur refuge pour les investisseurs en perte de repères et à la recherche de sécurité, confrontés à la chute des valeurs boursières et au faible rendement de l’épargne.
De fait, la clientèle reprend le chemin des agences immobilières.