Le réseau Guy Hoquet l’Immobilier a connu une très belle année 2016. En effet, cette année a été marquée par une forte reprise du développement avec pas moins de 104 nouveaux contrats signés. Parmi ces nouvelles recrues, le réseau a remarqué que les candidats en franchise sont de plus en plus jeunes, et que la plupart sont des jeunes cadres qui ne croient plus au salariat pour assurer leur avenir.
En effet, le marché de l'immobilier offre de belles perspectives de développement. Bien plus qu’un simple bien de consommation, le logement représente une réelle nécessité. De ce fait, le marché de l 'immobilier est toujours dans l'obligation de répondre à une demande constante et en renouvellement permanent. Et bien que certaines périodes sont plus ou moins fastes pour ouvrir une agence immobilière, l'année 2016 a connu une nette reprise de l’activité.
« Le marché immobilier a été particulièrement porteur en 2016, confirme Fabrice Abraham, le directeur général du groupe Guy Hoquet. Ce dernier ajoute qu’« avec 850 000 transactions dans l’ancien au global sur le marché, et un réseau comme le nôtre qui réalise 11,5% de transactions de plus que l’année dernière, nous pouvons dire que nous sommes sur un marché fortement dynamique, marqué par des taux bas ».
L’année 2016 a également été marquée par des candidats à la franchise de plus en plus jeunes. Historiquement, le profil type du candidat à la franchise Guy Hoquet l’Immobilier est celui d’un cadre salarié, quadragénaire ou quinquagénaire, en reconversion. « Des jeunes cadres qui font le choix de la franchise, non plus pour démarrer une seconde vie, mais plutôt parce qu’ils ne croient pas en l’avenir du salariat. Ils pensent que, pour assurer leurs revenus et leur retraite, l’emploi salarié est de moins en moins efficace. Et, sans présager de leur résultat, les prochaines échéances électorales ont certainement joué un rôle en cette année 2016. », explique Fabrice Abraham.
Malick Cidère, l'entrepreneur qui a récemment repris l’agence immobilière Guy Hoquet de Brest, fait partie de ces jeunes cadres qui croient en l’entrepreneuriat comme une alternative plus avantageuse que le salariat. « Entreprendre, c’est avant tout la volonté d’être libre et de s’engager soi-même fortement dans un projet », souligne le franchisé.