Les services d’aide à domicile existaient déjà depuis plus de 50 ans lorsque l’état, en 1991, décide que l'emploi d'une personne à son domicile (on parlait alors d'emplois familiaux) donnerait lieu à une réduction d'impôts de 50 %.
La principale raison était de faire diminuer le travail illégal.
La principale raison était de faire diminuer le travail illégal.
Puis, en 1996, l’état autorise les entreprises à investir le secteur en tant que prestataires de services. Auparavant, seules les associations y étaient autorisées.
En 2000 est franchi sans doute le pas le plus important : l'état décide que les entreprises du secteur bénéficient désormais d'une TVA à 5,5 %, au lieu de 19,6 % rendant ainsi le marché attractif pour des entreprises.
En 2004, Jean-Louis Borloo étend l’agrément aux entreprises mandataires, offrant toujours plus de flexibilité.
En 2005, le ministre de la Cohésion sociale, en plus de la création du CESU (chèque emploi services universel), accorde aux entreprises une exonération des charges sociales dans la limite du SMIC pour la totalité de leurs employés.
En 2007, un crédit d’impôt est instauré aux familles non imposables.
Toutes ces dispositions de solvabilisation de la demande ont rendu ce marché en pleine mutation extrêmement intéressant pour le secteur marchand.
De plus, la demande est grandissante. La cause en est principalement la féminisation du travail et le vieillissement de la population. D’après l’INSEE, d’ici 2020, le nombre de personnes de plus de 75 ans représentera 9 % de la population. Les prestations ménagères y constitueront la principale demande.
Le budget moyen que consacre un consommateur de service à la personne est de 85 euros par mois en 2005. Les prévisions double ce budget en 2010.
Aujourd’hui, le travail au noir et l’emploi direct représentent encore plus de 70% du marché. Une diminution régulière de ce mode d’emploi s’est amorcée au profit des entreprises de service à la personne.
En 2000 est franchi sans doute le pas le plus important : l'état décide que les entreprises du secteur bénéficient désormais d'une TVA à 5,5 %, au lieu de 19,6 % rendant ainsi le marché attractif pour des entreprises.
En 2004, Jean-Louis Borloo étend l’agrément aux entreprises mandataires, offrant toujours plus de flexibilité.
En 2005, le ministre de la Cohésion sociale, en plus de la création du CESU (chèque emploi services universel), accorde aux entreprises une exonération des charges sociales dans la limite du SMIC pour la totalité de leurs employés.
En 2007, un crédit d’impôt est instauré aux familles non imposables.
Toutes ces dispositions de solvabilisation de la demande ont rendu ce marché en pleine mutation extrêmement intéressant pour le secteur marchand.
De plus, la demande est grandissante. La cause en est principalement la féminisation du travail et le vieillissement de la population. D’après l’INSEE, d’ici 2020, le nombre de personnes de plus de 75 ans représentera 9 % de la population. Les prestations ménagères y constitueront la principale demande.
Le budget moyen que consacre un consommateur de service à la personne est de 85 euros par mois en 2005. Les prévisions double ce budget en 2010.
Aujourd’hui, le travail au noir et l’emploi direct représentent encore plus de 70% du marché. Une diminution régulière de ce mode d’emploi s’est amorcée au profit des entreprises de service à la personne.
Dans certaines villes, il arrive que la demande soit si forte que ce sont les salariés qualifiés qui viennent à manquer. Aussi, le savoir faire d’une entreprise à la personne doit reposer autant, sinon plus, sur la gestion du personnel (et sa fidélisation) que sur les techniques de commercialisation.
Entreprendre dans les services à la personne est une opportunité pour un jeune créateur averti. Un marché récent au potentiel très important avec un investissement de départ raisonnable et une rentabilité très intéressante. Comme tout nouveau marché, celui-ci est à saisir sans attendre.